Garder l'esprit ouvert.
Par
sympathie, poser les mains sur la douleur pour l'apaiser.
Tout en restant humble, sans s'imposer, être généreux.
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Dos de femme ...
... dos d'homme.
L'impression que leur rapport formel à leur environnement est
dans une dynamique inverse.
L'un absorbe, l'autre émet.
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Lundi 24 avril, pendant l'entraînement. 20h
Un
regard qui me déconcentre pendant mes taos, parfois au point
d'en manquer un ou deux mouvements.
Mais pas ce soir !!!
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Dimanche 23 avril, Place de la montagne sainte Geneviève, 12h
Des
mouvements naïfs, un peu saccadés, sporadiques mais volontaires.
Des mains un peu comme des mains d'adulte, mais plus petites, un peu
plus maladroites.
De
l'envie d'avoir un enfant ?
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'tit mec
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'tit bonhomme.
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'tite tête.
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Laisser reposer à feu doux.
Que cuisson s'opère lentement.
Permettre une fusion plus profonde de la lune et du soleil sous le
regard bienveillant des deux frères.
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Des bulles dans le ventre.
Se laisser toucher simplement.
ne pas forcément attendre en retour.
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Puisses-tu, dans ton sommeil, trouver le repos sur lequel veille en
secret une lointaine sentinelle.
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Un chat noir.
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Oh temps !...
... suspends ton vol.
Il faut qu'hiver se passe avant l'heure de la récolte.
Patience !
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Ces
gens-là.
et
Boîte
à feu.
Dessin automatique.
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Vendredi 7 avril, un café métro Javel, 12h
Mise
en abîme
Un
miroir reflète des clients et un miroir qui reflète
des clients ...
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Vocabulaire sensible.
Idée
de mini-scènes d'animation qui, selon qu'elles sont ordonnées
dans un sens ou un autre, servent une narration différente
Une sorte de cadavre exquis animé.
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Si loins ...
... si proches
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Vendredi
31 mars 2006, Versailles, 12h30
Ce
chien porte ses courses.
Parfois il les dépose devant sa maîtresse pour qu'elle
les reprenne. Parfois il vient les lui reprendre des mains.
Elle, elle se laisse prendre au jeu, consciente du regard amusé
des passants.
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Juste un geste ...
... pour me sortir de ma torpeur.
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Métro République, mardi, 21h30
Un
homme est en arrêt devant une affiche, parmi les passants qui
ne lui adressent pas même un regard.
Quelle ironie que ce dialogue de sourds entre ce symbole criard et
cru de la societé de consommation et cet homme dont le pouvoir
d'achat est probablement réduit à néant. Il est
captivé par cet objet familier avec lequel il entretient probablement
une relation qui n'appartient qu'à lui et dont la représentation
est ici démesurément grande.
Quelle absurdité !
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